Dans l’introduction à son Journal 1973-1982, l’écrivaine Joyce Carol Oates écrit ceci : « Tenir un journal est-il essentiellement un moyen de se consoler, grâce à une « voix » qui est la nôtre, subtilement transformée ? Un moyen de dissiper la solitude, un réconfort ? »
À la lecture de ces lignes, j’ai senti confusément qu’il y avait un point commun entre la tenue d’un journal intime et la pratique de la méditation.